Le calendrier de la généralisation de la facture électronique ne laisse pas de place à l’improvisation.
Au 1er juillet 2024, toutes les entreprises entrant dans le champ de la réforme, quelle que soit leur taille, seront soumises à l’obligation de réception des factures électroniques. Si son arrivée va impacter les contours de l’activité des cabinets, bien préparée elle doit néanmoins être un non-sujet.
Facture électronique : quelles conséquences pour les flux au sein du cabinet ?
Dans cette optique il est important de se poser les bonnes questions dès maintenant:
👉 Quelles étapes vont se succéder dans sa mise en place?
👉 Va-t-elle générer dans un premier temps davantage de travail dans les cabinets, ou plutôt une simplification des tâches?
👉 Qu’en sera-t-il de la collecte?
👉 Est-il possible de mettre en place dès aujourd’hui une organisation qui rende transparentes les étapes qui vont se succéder du 1er juillet 2024 au 1er janvier 2026 ?
Nous préconisons d’adresser le sujet dès à présent autour des axes suivants :
📌 Se former, et commencer à informer les clients
📌 Choisir un portail, point d’entrée digital du cabinet pour les flux (achats, ventes, paie…)
📌 Mettre en place une solution de saisie automatisée pour être « facture électronique-ready »
📌 Inciter les clients à utiliser une solution sélectionnée par le cabinet
Nous détaillons toutes ces pistes de manière pratique dans le billet accessible dans le lien ci-dessous.
Retrouvez l’article complet sur le site ComptaOnline ici 👉 Facturation électronique : la collecte sera-t-elle vraiment plus simple en 2024 ?